Deux époques historiques de l'histoire franco-russe
Le thème global de l'exposition « Relations franco-russes : deux opinions sur deux époques historiques » c'est « Mémoire », le sujet duquel est « Mémoire commune des Russes et des Français » .

La mémoire commune et historique ensemble influente dans la formation de l'individu : elles forment le point de vue ; aussi elles assurent le dialogue entre les générations. En même temps, la mémoire culturelle se compose de ces deux types de la mémoire et est représente des événements, des personnalités historiques, des objets de la culture. Charykova Praskovia, qui est l'auteur de l'exposition affirme : « Le lien entre les langues et la culture est solide. En fait, la langue c'est une partie de la mémoire du pays » .

Grâce à l'exposition vous envisagez des œuvres d'art qui expriment les relations entre la Russie et la France de la fin du 18ème au fin du 19ème siècle. Egorova Oulyana, deuxième auteur de l'oeuvre note : « Notre oeuvre virtuelle personnifie l'unité et le dialogue des Russes et des Français » .

La Révolution franç­aise et les guerres napoléoniennes sont deux jalons fondamentales pour ces pays dans la période considérée. À l'aide de la comparaison des points de vue des contemporains et des créateurs présents les spectateurs répondront à la question « Comment les guerres napoléoniennes et la Révolution française, se reflètent-elles dans l'Art des Russes et Français ? » .
Notre équipe
Praskovia Charykova
Prascovia s'intéresse aux langues étrangères (français, anglais, italien, latin) et à la danse.
Oulyana Egorova
Parle 3 langues : russe, français, anglais. Etudie et habite en Saint-Petersbourg. S'intéresse aux Arts, à l'histoire et au muséeographie.
Section 1 : Révolution française

La Révolution française c'est une période de la réorganisation de la société féodale française qui a été réalisée de 1789 à 1796. Elle a commencé à cause de la crise financière, politique et sociale et de l'inégalité entre les groupes sociaux.

Premièrement, en 1789 les États généraux se déroulé, où les députés du Tiers État ont déclaré de ne pas se séparer avant d'avoir donné une constitution en France.


Après le 14 juillet, les Parisiens prennent d'assaut la Bastille, ensuite la prise de la Tuileries, encore en 1789 la chute de l'Ancien Régime a eu lieu et enfin l'Ancien Régime à été aboli donc la Déclaration des droits de l'homme et du citoyen a été créée. Mais faut du mécontentement du roi il a eu la déchéancé. En même temps la guerre avec les autrichiens s'est déroulée. Aussi en essayant de résoudre le problème financier,​ l'Assemblée commence à posséder des biens du clergé, néanmoins prêtres réfractaires refusent d'obéir à nouveau régime. En ce moment-la Louis XVI cherche à s'enfuir et arrête à Varennes, pourtant il est ramené à Paris.


Tout a terminé en 1799 par la Terreur et la guillotine de Robespierre dont commandant.


Charykova Praskovia

Jacques-Louis David

(1748 – 1825)


Jacques-Louis David est peintre français qui a créé le style qui s’appelle « néoclassicisme révolutionnaire » . C’est le style que David utilisait pour présenter les sujets révolutionnaires sur ses tableaux. En effet, David participait activement au mouvement révolutionnaire. En plus en 1790 il est devenu membre de club des jacobins. Il a voter pour la mort de Louis XVI. Il faut constater que pendant l’Empire de Napoléon Bonaparte Jacques-Louis David était peintre courtisan. Il est mort en 1825 à Bruxelles.

Charykova Praskovia

« Le Serment des Horaces » est un tableau du peintre français Jacques-Louis David en 1784 peint à Rome sur commande de Louis XVI. Le travail a fini en 1785. Il est de grande taille : 330 centimètres de hauteur et 425 centimètres de largeur.

Donc, ce tableau est considéré comme un des chefs-d’œuvre du néoclassicisme. Bien que cette peinture ait été peinte avant la Révolution française, elle reflète le patriotisme, et les idées républicaines. L'un des élève de Jacques-Louis David à dit « Il est impossible de décrire toute la beauté de cette peinture » . Il est possible que David ait été inspiré par les procédures de serment utilisant les épées. Le serment traduit le courage et la fierté. David brise les règles habituelles de composition en décentrant les sujets principaux. Il ne tient pas non plus compte des principes de l’Académie en traitant ses couleurs et reliefs de manière relativement plate.

L'œuvre à été achevée en 1785. Exposé d’abord à Rome dans l'atelier du peintre, le tableau à été apporté à Paris et exposé au Salon de 1785. Dans les années suivantes le tableau est devenu le symbole de la Révolution française. Il est probable que Jacques-Louis David a décidé de faire comme ça un appel à la Révolution.

Charykova Praskovia


Le Serment des Horaces, 1784

Jacques-Louis David

« Les licteurs rappor­tent à Brutus les co­rps de ses fils » est un tableau peint par Jacques-Louis David en 1789. Il représ­ente le retour des corps des fils de Bru­tus. C'est leur père — Brutus qui a ordo­nné les exécuter à cause de leurs idées monarchiques. L'espa­ce de ce tableau est en pénombre. Avec les taches lumineux au premier plan Jacqu­es-Louis David montre la femme de Brutus avec leurs filles qui sont figées. À l'­arrière plan on peut voir les corps mort­s. En ce qui concerne Brutus, il est à l'ombre. Il faut cons­tater que cette œuvre est une des œuvres de Jacques-Louis Da­vid qui sont​ liées avec les sujets du passé. C'est-à-dire, les sujet du présent et​ du passé sont liés. En voyant ce tableau les spectate­urs peuvent observer la force, la puissa­nce, le courage, la résistance, le sacri­fice. Cettes caracté­ristiques sont ordin­aires pour la France pendant la Révoluti­on française.

Charykova Praskovya


Les licteurs rappor­tent à Brutus les co­rps de ses fils, 1789

Jacques-Louis David

« Le Serment du Jeu de paume » est un tableau (une peinture d'histoire) inachevé de Jacques-Louis David composé entre 1791 et 1792. Cette toile ambitieuse devait immortaliser l'événement qui s'était déroulé dans la salle du Jeu de paume à Versailles. À la suite des bouleversements politiques qui ont ponctué la Révolution et des difficultés de financement du projet, le peintre ne pouvait jamais terminer son œuvre. Il faut dire que ce tableau est réalisé à la craie blanche, pierre noire et huile sur toile.

Le Serment du Jeu de paume c'est la première grande insurrection de Tiers état contre le roi qui s'est passé à Versailles le 20 juin en 1789. Sur cette œuvre Jacques-Louis David s’attache à traduire le mouvement d’unanimité en convergeant vers Bailly le regard de tous les députés présents. David s'occupe aussi de dessiner les visages pour que chaque personnage puisse être reconnu individuellement. Dans les études préparatoires, le peintre a dessiné des fenêtres larges et placées en hauteur. Sur la partie supérieure de la scène, la présence du peuple aux fenêtres, les rideaux sont soulevés par des bourrasques de vent.

Charykova Praskovia


Le Serment du Jeu de paume, 1791/1792

Jacques-Louis David

« Le club des jacobins » с’est la gravure de Mikhaïl Ksenofontovitch Sokolov peinte au XXème siècle. Cette gravure est consacrée à la Révolution française et elle nous montre que le peintre était intéressé à cette période. Sur cette gravure on voit le groupe des jacobins (des révolutionnaires) qui sont ensemble pour discuter leurs idées politiques. Tous les participants sont en train de parler et à droit on voit celui qui est le plus important, celui qui joue le rôle principal dans cette discussion. Peut-être c’est Robespierre. Il faut noter que chaque personne qui est dans ce club est intéressé par ses idées.

Le club des jacobins, XXème siècle

Mikhaïl Ksenofontovitch Sokolov

« Vive la République ! »
« La mort de Bara » est le tableau de Jean-Joseph Weerts peint en 1883. Il faut noter que Weerts montre comme ça que la IIIe République en France est solide.

Joseph Bara est un garçon de 14 ans tué en 1793 par les vendéens. Bara était militaire à l'armée républicaine pendant la Révolution française.

Ce tableau concerne l'art politique et l'art historique, il est attaché aux idées républicaines. Sur ce tableau on voit Bara à l'uniforme rouge des hussards. Il est déjà capturé par les vendéens, il est presque mort. À l'arrière plan il y a des chevaux. Donc, le peintre nous représente Bara en mouvement, il tombe au-devant de la mort. En glorifiant le sacrifice patriotique, Jean-Joseph Weerts représente Bara à la pose de Crucifixion avec quelle on peut comparer la violence des vendéens. Il y a une supposition concernante les mots de Bara en ce moment. Peut-être, il dit : « Vive la République ! » . Il faut dire que les reproductions de ce tableau ont été représentées aux écoles pour que les élèves considèrent Bara comme un héro de la République.

Charykova Praskovia


La mort de Bara, 1883

Jean-Joseph Weerts

« Bataille de Jemmapes » с’est le tableau de Henry Scheffer peint en 1834. Ce tableau est consacré à la bataille de Jemmapes qui a eu lieu le 6 novembre 1792 entre l'Autriche (Saint-Empire) et la France républicaine et qui a fini par la victoire de la France. L'armée révolutionnaire française, constituée de 40 000 volontaires et commandée par Dumouriez, remporte la victoire notamment grâce à son avantage numérique contre l'armée autrichienne aux Pays-Bas autrichiens sous les ordres du duc Albert de Saxe-Teschen. Alors sur cette peinture on voit la scène de la bataille où le peintre nous montre l’héroïsme, la victoire future des Français et leur sacrifice. Les autrichiens représentés sur ce tableau sont en sang, avec les visages désillusionnés. Il faut dire que ce tableau se trouve maintenant à Versailles, avec les tableaux consacrés aux guerres pendant la Révolution.

Charykova Praskovia


Bataille de Jemmapes, 1834

Henry Scheffer

« La Bataille de Fleurus » c’est la peinture de Jean-Baptiste Mauzaisse créée en 1837. Ce tableau est consacré à la bataille de Fleurus (le 26 juin 1794). Cette bataille est la plus significative de l'époque de la première coalition des guerres de la Révolution française. Jean-Baptiste Jourdan et Jean-Baptiste Kléber sont à la tête de 73 000 soldats français ; ils affrontent 52 000 Autrichiens et Hollandais sous le commandement de Frédéric Josias, duc de Saxe-Cobourg, et de Guillaume V, prince d'Orange, stathouder de Hollande. L'œuvre est située dans la galerie des batailles, dans le château de Versailles, comme les autres œuvres consacrées aux guerres de la France révolutionnaire les plus réussies. Ce tableau montre le héroïsme et le sacrifice des Français qui ont protégé leur pays pendant les difficultés.

Charykova Praskovia


La Bataille de Fleurus, 1837

Jean-Baptiste Mauzaisse

« Le portrait de Louis XVI » c’est le portrait (miniature) peint par Jean-Laurent Mosnier en 1790. Louis XVI – c’est le roi de la France avant la Révolution française. Donc, en représentant le roi français, Mosnier nous montre qu’il ne supporte pas les idées révolutionnaires. On voit Louis XVI majestueux, avec les vêtements royaux. En regardant sur cette miniature on peut deviner qu’il est vraiment le roi. Son visage est doux, rose, gentil, avec la bienveillance. Sur ses vêtements on voit les décernés royales.

Charykova Praskovia


Le portrait de Louis XVI, 1790

Jean-Laurent Mosnier

« La fuite du roi » c’est la gravure créée par Mikhaïl Ksenofontovitch Sokolov au XXème siècle. Cette gravure nous montre que le roi français, Louis XVI, à l’aide de la Russie cherche à s’enfuir. Sur cette gravure on voit le chariot royal avec les chevaux et on voit beaucoup de gens qui sont venus pour dire au revoir au roi et à la monarchie française. Cela nous permet de comprendre que c’est une gravure qui contient les idées révolutionnaires. Puis, il faut dire que Louis XVI sera été capturé et après il sera exécuté. Alors, c’est l’enfuite qui n’a pas été réussie.

Charykova Praskovia


La fuite du roi, XXème siècle

Mikhaïl Ksenofontovitch Sokolov

« Le portrait de Marie-Antoinette » c’est le portrait créé par Jean-Laurent Mosnier. La date où on a créé ce portrait est inconnue. Marie-Antoinette est la reine de la France avant la Révolution française et elle est la femme de Louis XVI. Ici on peut la voir comme la reine. Elle porte une robe bleue très belle. Il faut dire que Jean-Laurent Mosnier l’a représentée ici jeune. Elle a le visage doux, bienveillant, agréable, aimable, gentil.

Charykova Praskovia


Le portrait de Marie-Antoinette, date inconnue

Jean-Laurent Mosnier

Élisabeth Vigée Le Brun

(1755-1842)


Élisabeth Vigée Le Brun est artiste française qui peignait plutôt les portraits (particulièrement des femmes). La plupart des membres de sa famille était liée avec l’art. Elle était peintre préférée de la reine française Marie-Antoinette. En 1783 elle est devenue membre de l’Ecole d’art royale. Pendant la Révolution française elle a émigré. Elle voyageait en Europe et après en Russie. Élisabeth Vigée Le Brun y peignait les aristocrates russes. Par exemple, la famille de l’Empereur, de Golitsyn, de Belosselskiy-Belozerskiy. Elle avait la particularité – elle pouvait mélanger les styles différentes. Après Élisabeth Vigée Le Brun est revenue en France et en 1842 elle meurt à Paris.

Charykova Praskovia

« C'est une représentation de la mère et de la fille assez progressive qui reflète les idées de l'époque des Lumières concernant la maternité et la féminité »

« Madame Vigée-Lebrun et sa fille » c'est une peinture de Élisabeth Vigée Lebrun qui la représe­nte avec sa fille Ju­lie. « C'est une repr­ésentation de la mère et de la fille ass­ez progressive qui reflète les idées de l'époque des Lumières concernantes la ma­ternité et la fémini­té » .


Il existe un autre portrait qui se ress­emble à ce portrait. Le premier portrait dont on parle maint­enant est devenu trè­s​ célèbre à été pr­ésenté au Salon en 1787. En plus,ce port­rait à reçu un nom « La Tendresse materne­lle » . Aujourd'hui ce portrait est au Lou­vre.

En créant ce portra­it, Vigée Lebrun ori­entait sur la tradit­ion de l'art religie­ux — la représentati­on des Madonnes. Les portraits des perso­nnes réeles restaient depuis les siècles les portraits solen­nels privés des émot­ions.

« Mais ces deux auto­portraits de Vigée Lebrun, écrits pour le plaisir et pour l'­usage privé, évitent les conventions du portrait officiel. Les gestes doux, la position présentent le double sens de l'a­mour et de la défense maternelle » .

Il semble que ce po­rtrait regarde aux yeux des spectateurs, l'impression est si­ncère et vive.


Après, Élisabeth Vi­gée Lebrun va répéter le schéma de ce po­rtrait pour représen­ter les nobles et les aristocrates avec leurs enfants.


Charykova Praskovia


Madame Vigée-Lebrun et sa fille, 1789

Élisabeth Vigée Lebrun

« La Mort de Marat » ( ou « Marat assassiné » ) est un tableau de Jacques-Louis David peint en 1793. Maintenant il est aux Musées royaux des beaux-arts de Bruxelles (Belgique). L'artiste représente Jean-Paul Marat, assassiné chez lui le 13 juillet 1793 par Charlotte Corday. La dédicace à Marat, David qu’on retrouve sur la boîte de bois, indique qu'il s’agit d’un hommage à Marat que le peintre connaissait personnellement. On peut voir un fond brun-vert, alors le corps de Jean-Paul Marat est représenté atroce et demi-mort. Sa main droite est pendante, elle tient une plume alors que la main gauche tient une feuille manuscrite portant le texte « Il suffit que je sois bien malheureuse pour avoir droit à votre bienveillance » . C'est un détail de la lettre de Charlotte Corday.

Il faut noter que plus tard les autres peintres ont peint les peintures consacrées au même sujet. Par exemple, Paul Bodry et Jean-Joseph Weerts ont peint les peintures qui représentent Marat et Charlotte Corday. En ce qui concerne la toile de Paul Bodry (1860) , elle est contre-révolutionnaire. Charlotte Corday est calme, certaine. Sa figure est monumentale, son regard est plein de certitude et prise de conscience. En comparaison avec sa figure la figure de Marat est faible, misérable. Alors que sur la peinture de Weerts (1880) on voit les motifs révolutionnaires. Par exemple, c'est le bonnet phrygien sur la tête d'un des témoins. Tous les témoins condamnent Charlotte Corday qui a tué Marat. Ils montrent leurs armes . Le regard de Corday est fou , elle n'a pas compris ce qu'elle avait fait.

Charykova Praskovia


La Mort de Marat, 1793

Jacques-Louis David

« L’assassinat de Marat » — с’est la peinture de Jean-Joseph Weerts créée en 1880 pendant la IIème Empire de Napoléon III en France quand on méprisait les idées révolutionnaires, les idées républicaines. C’est l’une des représentations de la mort de personnalité révolutionnaire Jean-Paul Marat. Alors, Weerts voulait représenter et l’assassinat de Marat et l’arrestation de Charlotte Corday. En effet, Corday a été arrêtée dans le vestibule où elle était après avoir assassiné Marat. Pour que la peinture soit plus spectaculaire Jean-Joseph Weerts a représenté un soldat qui débarque dans la salle de bain au moment de la crime. C'est Laurent Ba qui a arrêté Charlotte Corday. Il faut dire que Laurent Ba s'est retrouvé au moment de la crime dans la salle de bain par hasard. La police est arrivée plus tard. Donc on voit les motifs révolutionnaires. Par exemple, c'est le bonnet phrygien sur la tête d'un des témoins. Tous les témoins condamnent Charlotte Corday qui a tué Marat. Ils montrent leurs armes . Le regard de Corday est fou , elle n'a pas compris ce qu'elle avait fait.

Charykova Praskovia


L’assassinat de Marat, 1880

Jean-Joseph Weerts

« Charlotte Corday » c'est la peinture peinte par Paul Bodry en 1860 quand pendant le règne de Napoléon III la Révolution a été condamnée et le culte de Charlotte Corday a été créé. Sur ce tableaule personnage principal est Charlotte Corday, parce qu'elle est au centre de ce tableau tandis que Marat n'est pas représenté tout. En plus il faut noter que Paul Bodry a concentré l'attention sur Charlotte Corday en utilisant les couleurs froides pour la présenter.Il faut dire que ce tableau est contre-révolutionnaire. Elle n'est pas si violente. Charlotte Corday est calme, certaine. Sa figure est monumentale, son regard est plein de certitude et prise de conscience. Contrairement à sa figure la figure de Marat est faible, misérable.

Charykova Praskovia


Charlotte Corday, 1860

Paul Bodry

« La mort de Robespierre » с’est la peinture à l’huile peinte par artiste russe Valéry Ivanovitch Jacobi en 1864. C’est l’une des peintures qui a soulevé le sujet révolutionnaire en Russie pour la première fois. Sur ce tableau on voit Robespierre qui est ensanglanté, torturé et qui s’est évanoui. Robespierre est immobile et presque mort. Il ne essaie pas de lutter contre la mort. Devant lui se trouvent deux hommes dont l’un se moque de Robespierre en montrant comme ça que ses idées réolutionnaires sont invraisemblables. De plus même Robespierre en mourant nous montre qu’il est impuissant devant le people. Alors cette peinture souligne les idées conre-révolutionnaires. Il faut ajouter que Maximilien Robespierre a été guillotiné après le bouleversement Thermidorien, le 27 juillet 1794.

La mort de Robespierre, 1864

Valéry Ivanovitch Jacobi

Section 2 : Guerres napoléoliennes

La révolution frança­ise a terminé avec le coup d'Etat du 9 novembre 1799, où le gouvernement de la Directoire est renver­sé. À sa place a app­aru le Consulat qui était composé de 3 personnes, entre eux dont il y a l'organi­sateur du renverseme­nt, Napoléon Bonapar­te. En 1802, il est devenu Premier, et puis Consul à vie. Da­ns 2 ans le consul se transforme à l'emp­ereur. En ce moment-­là « Napoléon est gr­and parce qu'il est devenu supérieur à la révolution, a répr­imé ses abus, en gar­dant tout le bien – et l'égalité des cit­oyens, et la liberté d'expression et de presse ». Pourtant, le souverain a remar­qué un autre rôle po­ur lui-même : « Je peut être un renard, tandis qu'à un moment différent je suis un lion. Tout le sec­ret est de savoir qu­and être l'un ou l'a­utre » .

L'astuce c'était la stratégie : en diff­usant la liberté sur les pays voisins où les peuples n'ont pas de Code civil, Na­poléon les occupait pour que financer la grande armée, il a dit : « La richesse d'aujourd'hui c'est le fruit du vol et du pillage » .

À partir de 1798, Napoléon fabrique un par un des campements envahissants qui font partie de la lut­te contre une série de coalition anti-fr­ançaise.

En 1814 Napoléon re­noncera au trône et de mai 1814 à février 1815 exilait dans l'île d'Elba, mais en mars a été organisé son retour, au rés­ultat duquel il diri­geait pendant 98 jou­rs.

En 1815, Bonaparte a été renversé et a continué la vie à Sa­inte-Hélène, où il meurt le 5 avril 1821.


Tous les membres de la coalition qui s'o­pposent à la France après la Révolution française sont décri­tes au-dessous.


IIe coalition anti-­française (1798-1799) : Angleterre, Autr­iche, Russie, Royaume des deux Siciliain­s, Sacré Empire de Rome

IIIe Coalition anti­-française (1805) : Angleterre, Autriche, Russie, Suède, Roy­aume des deux Sicili­ens

IV Coalition anti-française (180­6-1807) : Angleterre, Russie, Prussie, Saxe, Suède

V Coalition anti-fran­çaise (1809) : Ang­leterre, Autriche, Espagne

VI Coalition anti-f­rançaise (1812-1814) : Angleterre, Autri­che, Russie, Prussia, Espagne

VII Coalition anti-­française (1815) : Angleterre, Prussie, Pays-Bas


Au-dessous sont prés­entées les guerres napoléoniennes :


1798 – Voyage milit­aire égyptien
1799 – Voyage milit­aire suisse
1800 – II Campagne italienne (I Campagne italienne en 1796)
1805 – I Campagne autrichienne
1806 – Campagne pru­ssienne
1806–1807 – Campagne polonaise
1807–1814 – Campagne hispano-portugaise
1809 – II Campagne autrichienne
1812 – Campagne rus­se
1813 – Campagne de Saxon
1814 – Bataille pour la France
1815 – Campagne bel­ge



Egorova Oulyana


« Peintre des rois et le roi des peintres »

François Pascal Simon, baron Gérard

(1770–1837)


François Pascal Simon, baron Gérard a né à Rome, le père occupait un poste élevé à l'ambassade de France et la mère était artiste italienne. Il a passé aux assistants de Jaque-Louis David. En 1793, sur la recommandation de David, il est nommé membre du tribunal révolutionnaire, pourtant il n'a pratiquement pas participé aux réunions de cet organe punitif, invoquant la maladie. En 1812, le peintre reçoit le poste de professeur à l'Académie des Arts, et un peu plus tôt il reçoit le titre de baron, devient titulaire de l'Ordre de la Légion d'honneur et peintre de la cour de l'empereur. Il aussi a occupé ce poste pendant la digestion de Louis XVIII, Charles X et Louis Bonaparte III. À le lettre, c'est pourquoi on l'appelle « peintre des rois et le roi des peintres » et « peintre d'histoire » .

Egorova Oulyana

En 1805 baron Gérard à dessiné « Napoléon 1er en habit de sacre » . C'est un portrait formel qui est peint au style classique dont le représentant était le professeur de François Gérard. C'est pourquoi il n'y a pas d'action dans l'image, la palette est limitée et la structure est précise.
En peignant ce chef-d'oeuvre le narrateur montre clairement le status de Napoléon. On dirait qu'il veut « photographier » le début du bonheur dans la future impériale. On voit un homme d'esprit, la personne autoritaire. Le pouvoir est entre ses mains, quoi on devine grâce à la pomme du pouvoir couronnée qui exprime le pouvoir suprême sur la terre chrétienne, le bâton-sceptre qui personnifie la domination sur les mers et la «main de justice», la promesse de la légitimité. À cela s'ajoute que par la demande, Martin-Guillaume Bienne a inventé les « Distinctions de l'Empereur » : une couronne d'or en forme de couronne de laurier. C'est l'imitation d'Alexandre le Grand, le modèle de qui il va essayer de devenir.

Egorova Oulyana


Napoléon 1er en habit de sacre, 1805

François Pascal Simon, baron Gérard

Campagne suisse en 1799

(10.09–27.09./01­.10.)

(IIe Coalition anti-française (179­8–1799)


La première coalition anti-française a pris fin en 1979. Dans le même temps, l'A­ngleterre et la Fran­ce ont continué la guerre, ce que pour l'Autriche donc l'acc­ord amiable était la mesure obligatoires. La France avait pr­évu de poursuivre son expansion en Europe en 1798, c'est pou­rquoi elle Pays-Bas et la région papale, le royaume de Sarda­igne occupé, les Bal­kans et la Suisse ont également été péné­trés.
L'Angleterre a appuyé le lancement d'une nouvelle coalition en exprimant sa volo­nté de payer des sub­ventions pour permet­tre aux pays contine­ntaux d'y participer. Mais la France éta­it déterminée à prés­erver les territoires et le contrôle de la Suisse et de la Hollande.
Les adversaires souh­aitaient affaiblir l'influence de la Fra­nce en Europe, en re­stituant les terres perdues pendant la guerre de 1792-1797 en Italie et sur la rive gauche du Rhin.

Dans un premier temp­s, la coalition a eu une supériorité num­érique et a remporté une série de victoi­res en Italie, qui a été récupérée par la France, et en Alle­magne. La flotte rus­se a agi contre les Français en Méditerr­anée. Les forces de la flotte russe-turq­ue, sous le commande­ment de Feudor Ushako­v, ont libéré les îl­es Ioniques des Fran­çais et les dépôts en Italie pour aider le royaume de Naples.

Pendant ce temps, la Compagnie italien de A. V. Suvorov a pe­rmis de nettoyer l'I­talie des Français, mais s'est achevé par un désaccord entre Russes et Autrichie­ns. L'armée russe s'­est alors dirigée ve­rs la Suisse, où à cause de la défaite du corps de Rome-Kors­akov, elle a été ent­ourée de l'ennemi da­ns des conditions na­turelles difficiles et s'est à peine éch­appée à travers les Alpes, subissant des pertes. En collabor­ation avec les Angla­is, le débarquement en Hollande a échoué. Paul a ensuite rap­pelé ses troupes d'E­urope. Les Français ont maintenu la Suis­se après la sortie de la guerre de la Ru­ssie, après avoir me­né la Marche de l'It­alie de 1800, les Fr­ançais ayant vaincu les Autrichiens de Marengo en Italie et de Gogenlinden en Al­lemagne en décidant de l'issue de la gue­rre sur le continent. L'Angleterre, seul­e, a conclu l'accord ammiable.

En fin de compte, la France a conservé les terres conquêtes et a consolidé toutes les acquisitions par des traités de pa­ix et a envisagé la poursuite de l'expan­sion, contre laquelle l'Angleterre était opposée.

Plus d'information sur :

1) la IIe Coalition an­tifrançaise
2) le passage suisse de Suvorov
3) le passage italienne de Suvorov

Egorova Uliana

« Un exploit à la plaisanterie du commandant »

Vasily Ivanovitch Sourikov

La campagne suisse est également important pour les artistes russes et français. Vasily Ivanovitch Sourikov, l’a dépeint, en étant l'artiste du genre historique qui a attiré chaque détail de l’événement. Il avait quelque chose de commun avec les parisiennes, il en a écrit : « L’art ici a une signification civique, tout lui s’intéresse — du premier homme au dernier homme, tout le monde en a besoin... » . Il a été impressionné par les peintures de l’ancienne école française. Ainsi, les cultures russes et françaises se sont fusionnées une fois dans le coeur de la France pendant le voyage de Sourikov. La prochaine fois ce sera où il va écrit une peinture « Souvorov traversant les Alpes en 1799 » .

Vasily Sourikov était un patriote, distingué par un dessin précis de l’événement et un reflet clair de l’opinion de la nation à l’étape historique.

Le 25 septembre 1799, les troupes russes divisaient le col de la montagne Panix, qui se trouvait à 2400 mètres d’altitude. Cela faisait partie de la 2 Coalition anti-française lorsque le maréchal général a envoyé des troupes du nord de l’Italie à travers les Alpes à la Suisse. Pendant le voyage, les participants ont été confrontés aux conditions météorologiques extrêmes : brouillard, neige, vent fort. Les troupes devaient gravir un chemin étroit, conçu pour une seule descente. En regardant l'oeuvre, le spectateur voit Alexandre Vasilievitch au cheval, montrant la direction, tandis que l’enthousiasme des soldats qui le regardent, raconte du talent de Souvorov à « réveiller endormi, apaiser les ennemis brusques de la patrie » . Sourikov a décrit sa peinture comme un « exploit à la plaisanterie du commandant » . L’exploit réside dans la première étape à travers les Alpes d’hiver, que ne pouvait personne commettre encore autre que Souvorov.

Le chef-d'oeuvre n’est pas vraie pleinement. Par exemple, nuages dessinés pour presenter la hauteur ou baïonnettes dessinées seulement au désir de l’auteur.
Il est à noter que l’image a été publié en 1899, quand il a marqué le 100e anniversaire du mouvement commémoratif, bien qu’il n’était pas vraiment important pour Vasily Ivanovitch.

Si on parle de la gravité de l’opération, elle n'a pas finis avec du succès. La raison c'est l'incompétence de l'Autriche qui a dû équiper les armées alliées. Malgré toutes les difficultés de la mission, les combattants n’ont pas réussi à se réunir avec Rimsky-Korsakov et ont ensuite subi une défaite écrasante. Toutefois, en conséquence, Alexandre Suvorov a été promu au rang de Généralissime, le plus célèbre en l’Empire russe. Au total, les batailles faites des générals russes et français étaient grandioses et ont été reflétées dans l'art des peintres divers.

Egorova Uliana


Souvorov traversant les Alpes en 1799

Vasily Ivanovitch Sourikov

« Ils [les Français] ont envahi le territoire suisse en période de paix et violé l’indépendance de la nation suisse »


George III, le roi de l'Angleterre

Napoléon Bonaparte sait depuis longtemps le talent d’Alexandre Vasilievitch Suvorov en réalisation de la campagne Italienne en 1796. En même temps, Napoléon était effrayé par le nettoyage de l’Italie du Nord des troupes françaises. En 1799, alors qu’il était en Égypte, qu’il avait repris aux Britanniques, Bonaparte a décidé de retourner à Paris pour qu'entraîner le coup d’État du 18 Brumaire. Depuis lors, il a pu continuer à étendre l’influence française et essayer de gagner la Russie.
En 1804 oú Royaume-Uni a déclaré la guerre à la France, George III, le roi de l'Angleterre, a tellement parlé de la future du Suisse : « Ils [les Français] ont envahi le territoire suisse en période de paix et violé l’indépendance de la nation suisse » . En fait, Napoléon a voulu de prendre à son service des troupes suisses, de se saisir des trésors bien fournis des cantons et de prendre le contrôle des cols alpins valaisans, sur le chemin le plus court entre Paris et Milan.

Le pouvoir français sur la Suisse perdure, mais en ces jours-là il y a l’avance des troupes autrichiennes, le franchissement des Alpes par Alexandre Suvorov, afin d’opérer sa jonction avec Alexandre Rimsky-Korsakov, qui se trouve près de Zurich. Les Austro-Russes s’étaient emparés du massif du Saint-Gothard en mai-juin 1799, pemierèment ils ont été chassés en août par les Français, donc c'est pourquoi Masséna a gagné la deuxième bataille de Zurich sur Rimski-Korsakov.

Le narrateur montre aux spectateurs le 1er Consul dans son style habituel : la pose fameuse, la propreté de l'uniforme, l'autoritarisme. Grâce au peinture on peut apprécier la puissance de l'armée.

En comparant cet oeuvre avec une toile de Sourikov « Souvorov traversant les Alpes en 1799 » , il est évident que les attitudes des généraux sont opposés. Si dans le premier cas le général se present comme le professeur, comme le père pour ses hommes de troupe, dans le deuxième cas c'est la relation distincte seulement, même si les deux ont connu touts les noms de son armée.

Pour conclure, il faut noter que la Campagne Suisse c'était la raison de la guerre entre la France et l’Autriche en 1805. Cette occupation permet Napoléon de s'enrichir, c'était juste une des campagne militaire, tandis que d'autre côté la Russie a un chance de se démarquer, de renforcer les alliances et de mettre en fin la domination de Napoléon Bonaparte.

Egorova Oulyana


Napoléon franchissant les Alpes, 1848-1850

Paul Delaroche

« Dans le premier temps, après avoir reçu des nouvelles de la bataille d'Austerlitz, Moscou est devenu perplexe. À l'époque, les Russes étaient si habitués à gagner que, après avoir reçu la nouvelle de la défaite, la majorité ne croyait pas, d'autres cherchaient des explications à un événement aussi étrange pour des raisons extraordinaires »

Léon Tolsoï, La guerre et la paix, volume 2 partie 1 chapitre II

Baron Gérard qui a dessiné l'oeuvre « Napoléon 1er en habit de sacre » comme le peintre de la cour de l'empereur a présenté « Napoléon à la bataille d'Austerlitz » , une peinture qui montre une grandiose victoire de Napoléon.
La bataille considérée était s'est déroulée pendant la troisième coalition anti-française composée par la Russie, l'Autriche et le Royaume-Uni.
Chaque camp a eu des raisons, néanmoins, une pays était l'initiateur.

Pour la France première raison c'était la revanche pour la destruction de la flotte française en cours de la bataille de Trafalgar contre l’Angleterre. Deuxièmement, c'est la nécessité d’une victoire majeure pour renforcer le pouvoir. La dernière bataille à Marengo a été perçue comme une défaite qui a passé seulement grâce aux renforts. Troisièmement, c'était le risque de l'armée française d'être détruite.
Attirons l'attention à ce qui passait. La France risquait d’être complètement encerclée par les ennemis le nombre duquel dépasserait d’au trois fois. En vue de ça Bonaparte a décidé de faire semblant que la Grande Armée est faible et atteindre le combat.

Pierre Dolgoroukov, le général, qui a obtenu son status a cause du prenom et n'a pas d'expérience civil et militaire, a persuadé Alexandre Ier que l'armée napoléonienne était véritablement faible et que c'est une chance de mettre fin à Napoléon.
Alors, Koutouzov avec trois armée combinées de différents pelages ( autrichienne, anglais et russe ), avec l'absence de l'aide, a obéi l'empereur et a commencé l'arrivée.

On peut comparer le succès de Napoléon en 1805 avec l'essor de la Russie Ancienne dans la bataille de la Kalka le 8 de septembre en 1380. Le général dans l'avenir, petit Napoione Bonaparte, comme il s'est présenté aux camarades, était un élève laborieux et il est sûrement qu'il étudiait scrupuleusement à l'École militaire un de ses métiers, l'histoire.
Ainsi, la manoeuvre utilisée contre Mamaï est semblable avec la réalisation de la bataille d'Austerlitz.
« ... Pendant qu'ils marcheront pour tourner ma droite, ils me présenteront le flanc » — les forces de Koutouzov entament leur marche pour déborder Napoléon sur son aile droite. À 9 heures, le brouillard se dissipe, le « soleil d'Austerlitz » perce, Napoléon lance les divisions au centre de l'armée de Koutouzov.
C'est-à-dire, les soldats cachés en étant le leçon très bien appris par Napoléon ont garantis sa victoire.

Quant à la composition panoramique « Napoléon à la bataille d'Austerlitz » , un adjudant français dit que « Mon épée brisée, ma blessure me couvrant de sang, la victoire avec des forces insignifiantes sur l’élite des troupes ennemies — inspiré [Napoléon] l’idée de la peinture, qui a été exécuté par Gérard » .
L’artiste a choisi le moment où le général Rapp, de retour de la bataille blessé, présente à l’empereur les bannières. Tous représentés dans l'image, sont les participants, même la tête d’un courageux équestre, qui, sans se plaindre, bien que son corps a été criblé de balles, est arrivé à l’empereur et est mort, passant le juste capturé. Selon la légende, Napoléon, désireux d’honorer la mémoire de ce jaeger, a demandé à l’artiste d’imprimer sur la toile et lui.

Egorova Oulyana


Napoléon à la bataille d'Austerlitz, 1810

François Pascal Simon, baron Gérard

Jean-Laurent Mosnier est né à Paris. En 1776, il est nommé portraitiste de la reine Marie-Antoinette. En conséquence, il a été élu à l’Académie royale française.
Jean-Laurent Mosnier est aussi devenu le peintre de cour de l’empereur russe Alexandre Ier après son arrivée en Russie en 1795.
En 1802, il a été élu académicien de l’Académie impériale des arts, et en 1806, il a été nommé professeur. De 1806 à 1808, il enseigna à l’Académie des Arts.

Grâce à la biographie du peintre on peut parler de l'expérience du portraitiste. Il est évident que les portraits des représentants des familles régnantes des pays russe et français sont les plus importants dans la carrière.

Alexandre Ier a été immortalisé sur la toile en 1806. Le visage de l'empereur est courageux, calme, sérieux. L'année suivante il a conclu la paix de Tilsit avec Napoléon Bonaparte. C'était le point culminant après lequel Alexandre Ier va prendre une revanche, c'est-à-dire il va gagner la Guerre patriotique avec Napoléon.

En analysant cette peinture les spectateurs comprend l'attitude d'Alexandre Ier envers la cooperation franco-russe.

Egorova Oulyana


Alexandre Ide la Russsie, 1806

Jean-Laurent Mosnier

La paix de Tilsit a été conclu entre le 25 juin et le 9 juillet 1807 sur la rivière de Niémen, à Tilsit, entre Alexandre Ier et Napoléon Bonaparte après la quatrième coalition de 1806-1807. Elle était futile pour la Russie et a été réalisée dans la poursuite d'or anglais.

Tilsit est la conséquence de la honte des armes russes sous Austerlitz et Friedland. Dans l'oeuvre de l'écrivain russe — Léon Tolsoï, « La Guerre et la Paix » , Nikolaï Ilyich Rostov pense que la guerre est un crime organisé par des politiciens comme Bonaparte. En fait, il ne s'est pas contredit lui-même pendant ces négociations longues d'une heure. Cela devient évident dans l'analyse de l'une des questions de la réunion, à savoir la déclaration de guerre à l'Angleterre. À l'avenir, le monde emprisonné lui donnera la possibilité d'étendre son pouvoir à une grande partie de l'Europe. Bonaparte a noté : « En accord avec la Russie, nous n'avons rien à craindre », et en effet, la France n'avait plus qu'une guerre de blocus avec l'Angleterre.
Un autre point de discussion était le sort de l'État allemand, selon l'empereur français, la Prusse aurait dû disparaître de la carte de l'Europe. Il a affirmé : « C'est une nation maléfique dirigée par un monarque méchant, une armée maléfique dans sa subordination. Ils ont toujours trahi tout le monde et ne méritent pas d'être maintenus » . Après tout, la participation d'Alexandre Pavlovich a maintenu la Prusse.

Il est intéressant que le héros déjà considéré de Léon Nikolayevich, Rostov, questionne : « Quel droit avons-nous de raisonner ? Nous ne pouvons comprendre ni les objectifs ni les actions du souverain !... nous sommes des soldats et rien d'autre... Ils nous disent de mourir comme ça ! » . Ces mots reflètent l'obéissance et la bravoure des troupes à leurs empereurs, qui se battront à l'été 1812.

Réunion de l’empereur Napoléon avec l’empereur russe sur le Neman

Charles Monnet

Campagne russe en 1812

(24.06 – 14.12.1812)


La Campagne russe ou la Guerre patriotique comme on l'appelle en Russie a les raisons principales suivantes :
1)Le soutien de Napoléon à la Pologne, située aux frontières de la Russie et hostile à celle-ci
2)Le refus d'Alexandre I de la mariage avec Marie-Louise d'Autriche et de l'accepte la mariage avec la sœur, la princesse Catherine

Elle se compose de deux étapes. Premièrement, de juin à septembre 1812, où l'armée russe a riposté des frontières de la Russie à Moscou, en définitive donnant la bataille de Borodino près d'elle.

Pendant la deuxième étape de la guerre d'octobre à décembre 1812, l'armée napoléonienne se replie aux frontières de la Russie, poursuivie par les troupes russes.

Egorova Oulyana

« Ce sont eux qui, treize ans plus tôt, dans le midi, sont venus tenter l'Orient par l'Égypte, et se briser contre ses portes. Depuis, ils ont conquis l'Europe, et les voilà qui reviennent, par le nord, se présenter de nouveau devant cette Asie, pour s'y briser encore ! »

Philippe Paul de Ségur, Histoire de Napoléon et de la Grande Armée pendant l'année 1812

La Bataille de Moskova


La Bataille de Moskova et l’incendie de Moscou sont les apogées de la confrontation russe contre le regime napolélien.
Il est connu que l'armée représenté la première étape de la guerre de manière négative parce qu'elle voulait vaincre dès que possible l'armée ennemie.

Napoléon Bonaparte de son côté veux « revenir sincèrement au système qui fut établi à Tilsit, et que la Russie se replace dans l'état d'infériorité où elle était alors » . Mais la Russie n'était pas d'accord et Napoléon a apprécié cette résistance obstinée pendant son exil à Sainte-Hélène et a noté que « la bataille pour Moscou est la plus importante de sa vie » .

La bataille de Borodino a eut lieu le 26 août 1812. Une défense pouvait être organisée excellente dans la région de l'endroit. Koutouzov mis toutes ses forces à fortifier cette zone et à prendre les positions les plus avantageuses.
Un des participants à la bataille, marquis de Chambray, qui a écrit que la France obtenait la meilleure armée européenne pour cette bataille; de la part de la Russie, les recrues et les volontaires.

Durant les Français attaquaient la batterie Raevsky, le raid de Platov et Ouvarov.
L'armée russe a perdu 45 000 personnes. L'armée de Napoléon a perdu 51 000 personnes tuées, blessées et capturées.
Les pertes sont comparables et de nos jours personne peut dire qui est le vainqueur. Cependant, le mythe de l'invincibilité de l'armée napoléonienne a été dissipé.

Egorova Oulyana

Mazourovsky Victor Vikentïevitch

(1859-1944)


Viktor Mazourovsky est devenu un peintre de classe après avoir étudié à l’Académie impériale des Arts.

Dans la période mûre de sa vie, il voyage, écrit des cycles de travail qui consacrés aux formations militaires de l’armée russe, la guerre russo-japonaise. À l’occasion de l’anniversaire de la guerre de 1812, Viktor Vikentyevich peinte des tableaux lesquelles ultérieurement ont été publiés sur des cartes postales. Avec le déclenchement de la Première Guerre mondiale, il est retourné au front, où il a peint des images d’elle jusqu’en 1917.

De 1917 à 1924, il travaille au Musée Petersbourg de la Guerre.
En 1924, à l’âge de 65 ans, il est allé à l’Europe, où il meurt en 1944. Les troupes SS ont tué Victor Mazourovsky et sa épouse près de leur maison de Varsovie.

Egorova Oulyana

« C’était le spectacle le plus grand et le plus terrifiant jamais vu par l’humanité »
Napoléon entra à Moscou avec une armée de 110 milles des hommes. Impressionné par ce qu’il a vu, il a conclu : « La ville est aussi grande que Paris » . Aussi il a dit que « 1600 cloches et des milliers de palais » . En 24 heures, il était au Kremlin mais il n'a pas vu de députation de la population. La ville était vide, il restait les paysans, environ 3% de la population de Moscou qui s'était composée de 270 milles.

Selon la version officielle du gouvernement royal, l’incendie a été causé par les occupants, c'est-à-dire le tsar a attisé contre eux la haine de la population.
Mais il y a d'autres documents, ils constatent : « Pendant toute la seconde moitié du mois d’août, il [Fiodor Rostopchine], occupé à inventer de plus en plus de nouvelles façons de maintenir " l’excitation patriotique " parmi " les étrangers de Moscou " ennemis cachés de la patrie, a éclos un plan d’incendie criminel et de destruction de Moscou. Dans le même temps, la persécution des " étrangers de Moscou" à l’instigation de F. V. Rostopchyn a conduit au fait que des conspirations ont été faites parmi le peuple pour battre massivement les étrangers restants et piller leurs biens » .
Au contraire, les soldats de Napoléon disent qu’ils ont vu la police russe brûler les maisons des Moscovites, et les Français ont éteint la maison de l’éducation, le palais et d’autres bâtiments.

Toutefois, l'incendie de la Moscou s'est fini. Au total des dégâts a été estimé à 320 millions de roubles. Sur les 30000 maisons de Moscou, 5000 sont restées, et la seule copie de la collection de Musin-Pouchkine « Les mots sur le régiment d'Igor » a brûlé.

Finalement, quand Napoléon a voulu de partir il attenu sur place pendant un mois entier une réponse du tsar Alexandre 1er à ses offres de négociations. Celles-ci ne venant pas, il doit se résigner à battre en retraite en dépit de l'hiver précoce.. et sans avoir pris la précaution d'y préparer ses soldats. Il a fallu se replier sur l’ancienne route de Smolensk, Mikhaïl Illarionovitch Koutouzov l’a décrit : « L’ennemi en vol quitte les wagons, explose des boîtes avec des coquillages et laisse le trésor, des temples de Dieu kidnappé » . Marie-Henri Beyle, qui dans le future prendra le pseudonyme de Stendhal qui a participé à cette campagne, a écrit : « énorme pyramide de meubles et de piano » .

Pourtant, « le feu a beaucoup contribué à sa décoration » comme ça a écrit Griboedov dans son « Malheur d'avoir de l'esprit » . Entre les œuvres d'art qui ont été provoqué par ce cauchemar de la Moscou, on peut citer le Théâtre Bolchoï la place avec le complexe architectural duquel a été conçu par Osip Bove et la peinture de Victor Mazurovsky.

Egorova Oulyana


Feu de Moscou, les années 1910

Victor Mazourovsky

Vasily Vasilyevich Vereschagin

(1842-1904)


Il a étudié au Corps Alexandre , à l’Académie des Arts de Pétersbourg et au Paris. Après 1866, il travailla au Turkestan, à Paris, et se rendit à Munich, en Inde, au Tibet, aux États-Unis, à Cuba, au Japon.
Pendant la guerre russo-turque en travaillant il a participé à certaines batailles. À une occasion, Vereshchagine a été grièvement blessé à bord d’un destroyer « Jester » , qui plantait des mines sur le Danube, et lors d’une attaque sur un vapeur turc, il a été blessé.
La deuxième et dernière mine de la vie de Vasily Vereshchagine a été explosée en 1904. Quand la guerre russo-japonaise a commencé, Vereshchagin est allé au front, où il est mort avec l’amiral S. O. Makarov dans l’explosion sur le cuirassé « Petropavlovsk » .

Egorova Oulyana

« Il neigeait. On était vaincu par sa conquête.
Pour la première fois l'aigle baissait la tête.
Sombres jours! l'empereur revenait lentement,
Laissant derrière lui brûler Moscou fumant »

Victor Hugo, Les Châtiments, 1853

Le 1er septembre un conseil militaire se tint à Fili, près de Moscou, pour composer la stratégie. Il n'y avait que deux options : battre en retraite et rendre Moscou, ou organiser une deuxième bataille générale après Borodino. La plupart des généraux exigent une bataille, les opposants de ça étaient Koutouzov et Barclay de Tolly. Le conseil militaire de Fili s'est terminé par la phrase Koutouzov « Tant qu'il y a une armée, il y a de l'espoir. Si nous perdons l'armée près de Moscou, nous perdrons non seulement l'ancienne capitale, mais toute la Russie » . Il a été décidé qu'il fallait quitter l'ancienne capitale.
Le 2 septembre l'armée russe s'est retirée de la Moscou, avant l'arrivée de Napoléon, selon de nombreuses sources, a été soumise aux pillages.

Bien que Napoléon a voulu signe la paix, cela n’a pas passé. Alors Napoléon pourrait détruire la capitale moderne de la Russie. Cependant, il était certain qu’après avoir écrasé « le cœur du pays » , l’empire ne le contredirait pas. D’ailleurs, Bonaparte ne voulait pas épuiser les réserves pour rien. C'est le 19 octobre, la retraite de l'armée de Napoléon de Moscou a commencé.
Le but de cette retraite était de se rendre à Smolensk, car c'était la seule grande ville voisine qui disposait d'un approvisionnement alimentaire.

Le moment représenté sur la toile de Vasily Vasilyevitch Vereschagine fait référence aux actions déroulées près de Smolensk, dans le village de Krasnoe.
Un régiment des soldats russes s’est caché dans l’embuscade dans la forêt. Ici sur la route à venir apparurent les Français. Avec des baïonnettes flamboyantes et criant « Hourra! » Les Russes commencèrent à les attaquer.

Egorova Oulyana


« Baïonnettes ! Hourra ! Hourra ! », 1887-1895

Vasily Vasilyevitch Vereschagine

« L'abondance, des bons quartiers d'hiver et un prompt retour en France »

Napoléon

En Smolensk il n'y avait pas de nourriture. En autre, l'armée a été soumise aux attaques par des patriotes locaux. En conséquence, le 9 novembre la Grande armée a quitté Smolensk en étant suivie par les ennemis et partisans.

Les Français sont allés vers la rivière Bérézina afin de la forcer et de se rendre au Neman. Pourtant Napoléon Bonaparte avait la possibilité d'être capturé par le général Chichagove.
Par suite, le 25 novembre, l'armée française commence à simuler une traversée au sud de Borisov. À ce moment-là, les Français ont construit deux ponts sur la Bérézina et les ont traversé.

L'œuvre de Jean-Louis-Ernest Meissonier a été peint en 1863. L'auteur a visé à refléter les conditions insoutenables. Il a obligé les serviteurs à piétiner du neige et à creuser la terre avec des chariots pour qu'elle devenir sale. Sur un cheval blanc des écuries impériales, il prend la place d'un modèle, fait placer un miroir devant lui et se grelotte en dessinant.

Egorova Oulyana


Campagne de France, 1864

Jean-Louis-Ernest Meissonier

Souvent, l'habitant de ces rives entend les
merveilleuses histoires de pêcheurs.
Quand la tempête fait rage et gronde,
Et que les éclairs éclatent et que le tonnerre gronde,
Un rayon momentané illuminait souvent
l'ombre triste qui se dressait entre les rochers.

Lermontov M., Napoléon (Duma), 1830

« L’intrigue de la peinture est dans ma mémoire comme l’intrigue du poème du poète ; ayant esquissé sur un morceau de papier, je commence à travailler et je ne quitte la toile que j’en parle avec mon pinceau » — dit l'auteur de l’image Ivan Konstantinovitch Aïvazovsky.

Il a été peint en l’honneur du 85ème anniversaire de la campagne russe de Napoléon. Le personnage lyrique principal est représenté dans un uniforme reconnaissable et un triangle.
Le tableau raconte la fin de sa vie. Napoléon Bonaparte fut exilé à Sainte-Hélène dans un exil solitaire. Les contemporains de l’empereur ont souligné que la décision a été prise par lui-même, pour eux c’était un acte dont Napoléon a acquis le statut d’un héros romantique.

Une vague plus foncée que la mer, elle représente le poids de la vie déprimante restante, la rôle du héros et ses pensées de la destin.
Au-dessus de la mer est un oiseau solitaire, représentant Napoléon. Peut-être c’est un pétrel, qui apparaît toujours dans le mauvais temps. Dans un autre cas, c’est un aigle qui caractérise la personnalité du personnage.

B. V. Asafiev a écrit au sujet de l’image : « l’air marin est senti, et le mouvement puissant des vagues est visible » . Ivan Aïvazovski a démontré le talent du mariniste, la capacité de comparer l’homme avec la nature et de le décrire avec son aide.

Egorova Oulyana


Napoleon sur l'île de Sainte-Hélène, 1897

Ivan Konstantinovitch Aïvazovsky

Somme toute, l'art sauvegarde vives les pages de l'histoire dans la mémoire collective des peuples et permet de voir la différance des points de vue sur les événements historiques.

L'histoire nous reste seulement à analyser nos erreurs communs dans les contacts avec les autres, à cooperer amicalement avec les divers pays et soutenir les relations culturelles avec le monde entier.

Charykova Praskovia et Egorova Oulyana


La Galerie de la Guerre Patriotique de 1812, 1826

Saint-Pétersbourg, Palais d'Hiver

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